Foire aux Questions (FAQ)
Vous trouverez sans doute ici une réponse à la plupart de vos questions sur La Contre-Voie et ses enjeux.
Si aucune section ne répond à vos questions, ni même la page de présentation de l’association, n’hésitez pas à nous contacter.
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La Contre-Voie a pour but de sensibiliser tous publics à l’éthique dans le numérique, que nous déclinons à travers différents thèmes, dont les suivants :
- la prise de conscience du monopole culturel, technique et économique des géants du numérique (dont les GAFAM font partie) et l’importance de réduire collectivement notre dépendance envers leurs plateformes ;
- la sensibilisation à l’ampleur de la collecte et de la revente des données personnelles dans le monde et aux conséquences que ce trafic entraîne ;
- l’outillage numérique à travers la prise en main de logiciels alternatifs, libres et open-source.
Pour accomplir cet objectif, l’association intervient sur invitation dans divers lieux (établissements éducatifs, médiathèques…) et héberge des services alternatifs aux géants du numérique sur son site web.
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La Contre-Voie est née en janvier 2019 en tant qu’association étudiante dans une école d’informatique dans laquelle de grandes entreprises intervenaient régulièrement (les GAFAM, mais également des banques, des entreprises du CAC 40…) afin de transmettre leur vision du numérique aux étudiant·es et étendre leur domination culturelle.
Nous avons souhaité créer La Contre-Voie pour porter un contre-discours à ces entreprises et proposer aux étudiant·es un numérique alternatif, qui ne se repose pas sur des monopoles et qui fonctionne à travers des communs numériques. Nous intervenons sous la forme de conférences et d’ateliers éducatifs.
Depuis 2022, La Contre-Voie est sortie de l’école dans laquelle elle a été créée pour étendre ses activités à d’autres établissements, car ces grandes entreprises du numérique interviennent depuis longtemps dans de nombreuses écoles partout en France : il est donc nécessaire d’y porter un contre-discours également !
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L’association compte diverses méthodes de financement, dont les cotisations de ses membres, les dons ou la vente de tee-shirts.
Retrouvez notre budget prévisionnel et nos différentes sources de financement sur cette page.
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Vous pouvez tout d’abord rejoindre nos canaux de communication et participer à nos groupes de discussion en interne : nous sommes sur Matrix (#general:42l.fr) et sur Discord.
Nous avons régulièrement besoin d’aide pour organiser des activités de sensibilisation ou tenir des stands en convention ; n’hésitez pas à faire signe si vous souhaitez aider !
Ensuite, libre à vous de devenir membre de l’association afin de participer à nos assemblées générales et rejoindre nos groupes de travail.
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Vous pouvez adhérer via notre formulaire d’adhésion disponible sur cette page.
🔗L’association
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Notre association est basée à Angoulême, mais nous avons des membres un peu partout en France et surtout en Île-de-France, nous permettant d’intervenir de manière assez flexible pour des conférences ou des ateliers.
Nous nous déplaçons également dans plusieurs grandes villes à l’occasion de divers salons annuels (à Toulouse, Lyon, Bruxelles…).
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Nous avons une chaîne PeerTube sur laquelle nous hébergeons la plupart de nos conférences.
Vous trouverez également des trames d’ateliers et de conférences dans notre documentation des activités.
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La Contre-Voie intervient auprès de publics très variés, selon le lieu d’intervention. Par ordre de priorité :
- dans les établissements éducatifs, nous nous adressons à un public universitaire, lycéen voire collégien (et naturellement, les contenus de nos interventions ne sont pas les mêmes selon la tranche d’âge), généralement peu initié aux enjeux du numérique ;
- dans les tiers-lieux associatifs, nous nous adressons tantôt à des personnes de tout âge et de tous bords, tantôt à des militant·es qui s’intéressent à la protection de leur vie privée ;
- dans les écoles d’ingénieur·es, nous nous adressons à des profils généralement technophiles mais assez peu initiés à l’éthique dans le numérique pour autant ; nous avons toutefois les compétences techniques en interne pour développer une conversation sur les mêmes bases que notre public.
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Si vous travaillez dans une école, une université, une médiathèque, une MJC, un espace public numérique, un tiers-lieu, ou tout autre établissement qui pourrait nous accueillir pour une intervention, vous pouvez prendre contact avec nous pour nous inviter dans votre établissement et discuter du contenu de l’intervention et du public visé.
Pour les personnes travaillant à l’éducation nationale, nous apprécierions que vous puissiez proposer cette intervention à vos chef·fes d’établissement afin de faciliter la discussion.
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Nous demandons une contribution financière aux établissements qui nous invitent, a minima pour couvrir nos frais de déplacement (et si besoin, nos frais d’hébergement). Une part de cette contribution est également destinée à couvrir les dépenses de l’association et à terme (on l’espère !), à rémunérer équitablement les personnes qui interviennent pour vous.
Naturellement, nous adapterons le montant de cette contribution aux moyens de votre structure : nous ne demanderons pas le même tarif si vous êtes une association étudiante ou si vous représentez une structure qui comprend plusieurs salarié·es.
Nous vous invitons à consulter notre article de blog où nous présentons le modèle de financement que nous souhaitons pour notre association.
🔗Activités de sensibilisation
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Nous proposons des outils numériques alternatifs à ceux des GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft), comme du mail, de l’hébergement de fichiers ou des formulaires en ligne.
Les géants du numérique détiennent une emprise considérable sur les données personnelles des internautes du monde entier. Cette centralisation leur donne beaucoup de pouvoir sur nos vies. Nous pensons que c’est une mauvaise chose et qu’elle entraîne des dérives (économiques, politiques…). De plus, ces géants exploitent commercialement nos données personnelles : c’est leur modèle économique.
Nous hébergeons donc des outils qui proposent des fonctionnalités similaires, mais nous nous engageons à ne pas revendre ces données à quiconque, à respecter votre vie privée et à vous fournir des services maintenus à échelle humaine, par nos soins.
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Nos services s’adressent à toute personne qui souhaite regagner un peu de vie privée sur Internet : aux associations, entreprises, jusqu’aux particulier·ères, quelque soit leur activité, à condition que leur utilisation de nos services s’effectue dans le respect de nos conditions générales d’utilisation.
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Ils sont gratuits pour vous, pour la plupart d’entre eux. Mais rien n’est vraiment « gratuit » sur Internet : héberger et maintenir des serveurs nous coûte du temps et de l’argent.
Le parti pris des géants du numérique est de revendre vos données personnelles pour se financer. Le nôtre est de reposer sur votre contribution financière à travers les dons ou les adhésions.
L’utilisation de certains de nos services est toutefois conditionnée à l’adhésion à notre association, essentiellement pour des raisons d’espace disque et afin de nous prémunir du spam.
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Les hébergeurs de chacune de nos machines sont renseignés dans notre documentation. Nous nous assurons notamment que l’infrastructure matérielle soit localisée en France, et infogérée par des prestataires soumis à la juridiction française.
Nous utilisons Docker pour héberger nos services, parmi d’autres outils.
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Le code source de nos services est disponible sur nos dépôts Git ou sur le site web des logiciels que nous hébergeons.
Vous pouvez retrouver le code source de chacun de nos services sur la page dédiée à chaque service.
Retrouvez également le code source de ce site et le dépôt qui centralise tous nos outils de déploiement.
N’hésitez pas à consulter notre documentation technique pour en savoir plus.
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Dans nos conditions d’utilisation, nous promettons de respecter votre vie privée, de ne pas revendre vos données, de ne pas nous arroger de droits de propriété intellectuelle dessus.
Nous sommes donc légalement engagé·es à respecter ces conditions. Ce sont des contraintes que les géants du numérique ne s’imposent pas, bien au contraire : leurs conditions d’utilisation sont un charabia juridique incompréhensible et ils feront tout pour vous dissuader de les lire. Et ça marche : qui a déjà lu la politique de confidentialité de Microsoft ?
Malgré cela, qu’est-ce qui vous prouve que nous ne sommes pas en train de revendre frauduleusement vos emails à des courtiers de données ? Eh bien, pour être honnête : rien, puisque c’est impossible à prouver. Pourtant, nous croyons en un écosystème numérique fondé sur un lien de confiance entre les fournisseurs de service et les hébergé·es.
Vous ne nous faites pas confiance ? Aucun problème ! Libre à vous de frapper à d’autres portes que la nôtre − et nous vous recommanderons chaleureusement d’autres adresses, car aucun intérêt économique ne nous motive à vous enfermer chez nous !
Enfin, nous portons une grande attention à la sécurité des données hébergées : nous mettons à jour régulièrement nos serveurs et leurs logiciels, nous tâchons de suivre les standards de l’industrie en la matière (et même d’aller plus loin quand on peut) et nous utilisons des outils d’audit de sécurité (voir notre documentation technique).
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Sur Internet comme partout ailleurs, rien n’est éternel : Google peut subir un crach boursier et rendre ses services payants du jour au lendemain (comme l’a fait Twitter), Microsoft peut racheter Discord et décider subitement de migrer tout le monde sur Skype, Facebook peut fermer d’un coup de tête s’il n’arrive plus à être rentable… Qui peut prédire de quoi demain sera fait ?
De la même manière, si notre équipe technique passe sous un bus, ou que nous n’avons plus assez de forces humaines pour maintenir nos serveurs, ou que nous venons à grandement manquer de dons, alors nos services peuvent fermer. Rassurez-vous cependant, car :
- Ce n’est pas du tout dans notre programme, ni actuellement, ni sur le long terme ;
- Si jamais ça arrive pour une raison qui dépasse nos moyens, nous vous avertirons (autant que possible) au moins 6 mois à l’avance ;
- On fait partie d’un collectif d’hébergeurs qui pourrait reprendre la gestion des services dans l’hypothèse où nous n’arriverions plus à les gérer ;
- On a aussi besoin de nos propres services et on n’a pas envie de les fermer !
🔗Services libres
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Vous trouverez ces informations dans notre documentation administrative.
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Nous affichons un diagramme décrivant les principaux postes de dépense de notre association sur notre page d’accueil.
Si le détail de ces dépenses vous intéresse, nous vous invitons à consulter nos bilans financiers.
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Nous utilisons le logiciel de comptabilité Paheko pour toutes nos opérations comptables.
Pour connaître les détails de nos procédures comptables, consultez notre documentation administrative.
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C’est assez variable et cela dépend de la complexité et de l’urgence de votre demande.
Pour les demandes nécessitant une prompte intervention, nous répondons généralement en 24 heures. Pour les autres, cela peut nous prendre jusqu’à une semaine. Le délai moyen est d’environ deux jours.
Si vous n’avez toujours pas de réponse de notre part après une semaine, veuillez nous en excuser sincèrement ! Votre email est peut-être passé entre les mailles du filet (c’est rare, mais ça peut arriver). N’hésitez pas à nous solliciter à nouveau dans ce cas-là.
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Oui ! Notre association est reconnue d’intérêt général, vos dons sont déductibles de vos impôts à hauteur de 66 %, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
Par exemple, si vous donnez 30 €, vous bénéficierez de 20 € de réduction d’impôts ; votre don ne vous coûtera donc que 10 €.
Pour une entreprise, vous bénéficiez d’une réduction jusqu’à 60 % du montant de votre don, dans la limite de 5 ‰ de votre chiffre d’affaires.
Par exemple, si vous êtes une entreprise et que vous donnez 50 €, votre réduction d’impôts s’élèvera à 30 €. Votre don ne vous coûtera donc que 20 €.
Nous vous transmettrons un reçu fiscal correspondant au montant de votre don qui fera office de justificatif.
Vous pouvez faire un don sur cette page.
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Nous acceptons divers moyens de paiement pour régler votre cotisation, faire un don ou couvrir nos frais d’intervention :
- en espèces si vous rencontrez un·e membre de notre Bureau ou un·e membre de notre Comité de Contribution mandatée par le Bureau (n’envoyez pas d’espèces par courrier) ;
- en chèque à l’ordre de « La Contre-Voie », envoyés par courrier à notre adresse postale (indiquée dans nos mentions légales ;
- par carte bancaire ;
- par virement bancaire (contactez-nous pour nous demander notre RIB). Dans le cas d’une adhésion, pensez à indiquer le pseudonyme que vous avez choisi pour votre compte dans le libellé de l’opération.
Sur nos stands, pour régler votre cotisation, faire un don ou nous acheter des tee-shirts, nous acceptons les paiements en espèces, en chèque ou par carte.
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Les membres de notre association se répartissent en trois catégories :
- les membres de soutien, qui participent éventuellement à nos discussions et notre Assemblée Générale, qui aident parfois à la préparation de nos activités, mais qui ont souvent adhéré essentiellement pour bénéficier des services réservés à nos membres ou pour nous soutenir ;
- les membres de notre Comité de Contribution, qui contribuent activement à organiser des activités, à encadrer les autres bénévoles et qui prennent part aux discussions sur les lignes directrices de l’association ;
- le Bureau, notre organe administratif qui supervise le Comité de Contribution et qui représente légalement l’association.
Retrouvez la définition de ces groupes dans nos statuts.
Dans toutes nos discussions, nous privilégions la prise de décision par consentement.
🔗Administratif
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Nos tee-shirts, dessinés par Brume, sont en vente chez notre partenaire En Vente Libre.
Vous les trouverez également sur nos stands dans les conventions du libre (le Capitole du Libre à Toulouse, les Journées du Logiciel Libre à Lyon…) ou à d’autres évènements auxquels nous participons ponctuellement.
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Nous détaillons l’ensemble de ces informations dans notre documentation des outils de communication.
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Vous pourrez sans doute nous croiser à l’occasion de diverses conventions, salons et évènements partout en France (Toulouse, Lyon…). Nous annonçons généralement notre participation à un évènement sur nos réseaux sociaux.
Vous pouvez aussi nous contacter pour convenir d’un moment de rencontre avec nous sur Angoulême ou en Île-de-France (sous réserve que nous soyons disponibles !).
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Brume, co-fondatrice de l’association, est développeuse et graphiste. Elle a réalisé le logo de La Contre-Voie, nos outils de communication (dépliants, pins, autocollants…), nos tee-shirts, les portraits des membres de notre association et d’autres visuels.
Neil s’est occupé du design et du développement du site web (charte graphique, interface, contenu des pages).
🔗Communication
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Pour nous, un logiciel libre respecte les deux caractéristiques suivantes :
- un logiciel open-source : c’est-à-dire, un outil dont le code source (la recette de fabrication du logiciel) est publiée sur Internet et consultable par n’importe qui, ce qui garantit le fonctionnement transparent du logiciel.
- le code de ce logiciel doit être documenté, en particulier en ce qui concerne sa procédure d’installation ;
- la licence de ce code doit permettre sa réutilisation par d’autres personnes afin qu’il puisse être amélioré ou réadapté ;
- un logiciel qui porte des valeurs éthiques : en plus d’être open-source, l’outil est conçu pour défendre les libertés numériques et ses développeur·euses l’ont pensé pour protéger des valeurs éthiques et sociales. Quelques exemples d’indicateurs permettant d’apprécier ce dernier critère :
- il ne piste pas ses utilisateur·ices et ne transmet pas de données personnelles au-delà du strict nécessaire, ou protège du pistage d’autres logiciels ;
- il est développé de manière communautaire et démocratique ;
- il permet de réduire collectivement et efficacement notre dépendance aux géants du numérique…
Nous résumons donc cette définition selon l’équation suivante :
logiciel libre = open-source + éthique
.Sachez toutefois que la distinction entre logiciels libres et open-source est assez subjective, car chacun·e définit différemment la notion « d’éthique ». Pour cette raison, il existe généralement autant de définitions de cette distinction que de libristes (les personnes qui défendent l’usage de ces logiciels). Lisez également la définition de Stéphane Bortzmeyer ou de l’April.
- un logiciel open-source : c’est-à-dire, un outil dont le code source (la recette de fabrication du logiciel) est publiée sur Internet et consultable par n’importe qui, ce qui garantit le fonctionnement transparent du logiciel.
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Mastodon est un réseau social décentralisé qui ressemble à Twitter, à la différence qu’il n’existe pas un seul serveur central, mais une nébuleuse de plusieurs milliers de serveurs hébergés partout dans le monde par des passionné·es, des associations et diverses organisations.
Lors de l’inscription sur ce réseau social, vous choisissez le serveur sur lequel vous souhaitez créer un compte. Ce serveur dispose de sa propre gouvernance et ses propres règles. Parfois, ils sont orientés pour un public particulier : par exemple, il y a des serveurs Mastodon dédiés aux jeux de rôle, aux communautés LGBT+, au gaming, à la littérature…
Il vous appartient de bien lire le règlement du serveur qui vous intéresse avant de vous y créer un compte. Si ce règlement ne vous plaît pas, n’hésitez pas à continuer vos recherches : sur les quelques milliers de serveurs, il y en aura bien un qui vous conviendra !
Nous utilisons Mastodon pour communiquer depuis la création de l’association.
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Nous utilisons Discord car notre public principal reste le milieu étudiant, qui utilise massivement Discord pour communiquer. De plus, nous souhaitons atteindre un public non-initié aux enjeux du numérique, donc un public qui n’est pas déjà sur des plateformes libres comme Mastodon ou Matrix. À quoi bon promouvoir des outils libres auprès de libristes ?
Nous souhaitons donc entretenir régulièrement nos activités sur notre compte Twitter et notre groupe Discord, afin d’accompagner plus de personnes vers des services libres.
Nous encourageons par ailleurs les personnes du milieu libriste qui souhaitent sensibiliser auprès de publics non-initiés à rejoindre les grandes plateformes propriétaires (Facebook, Instagram, Twitter, TikTok…) pour lancer des campagnes de sensibilisation, plutôt que de les réaliser sur Mastodon, Matrix ou XMPP et n’atteindre que des convaincu·es.
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La large majorité des outils des géants du numérique (dont les GAFAM) sont propriétaires, c’est-à-dire que le code source de ces outils n’est pas public : on ne sait pas ce qu’il y a dedans, on ne sait pas quel usage est fait de nos données. On sait juste que le modèle économique de ces géants repose sur la revente de nos données personnelles : voilà qui n’est pas très rassurant !
À l’inverse, les logiciels open-source (c’est-à-dire, dont le code est public) montrent patte blanche : les personnes qui ont les compétences pour lire ce code peuvent vérifier si le logiciel ne va pas transmettre nos données.
La publication du code représente donc un gage de confiance, qui nous semble absolument indispensable pour nous assurer que les logiciels que nous utilisons au quotidien ne nous trahissent pas, ou ne comportent pas des portes dérobées (backdoors) qui faciliteraient la surveillance ou la récupération de données.
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Les CHATONS, c’est le Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires !
C’est un collectif initié en 2016 par l’association Framasoft qui rassemble plus d’une centaine de structures (associations, entreprises, particuliers…) dans le but de proposer ensemble des services alternatifs aux géants du numérique et de s’entraider entre structures hébergeuses.
Derrière l’idée de CHATONS émerge une nouvelle notion importante pour reprendre confiance dans les outils numériques : la proximité géographique. En effet, les personnes qui ont besoin de services en ligne peuvent s’adresser au CHATONS le plus proche de chez soi pour rencontrer ses administrateur·ices, les remercier, leur poser des questions et évaluer si elles sont dignes de confiance ou non.
🔗Culture libre